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Claude Monet, “Cathédrale de Rouen”, 1894. J’admire cette série d'œuvres de “La Cathédrale de Rouen” car le peintre utilise la couleur appliquée par touche et exprime plus les émotions et sentiments que la réalité précise.
Claude Monet, “Cathédrale de Rouen”, 1894. J’admire cette série d'œuvres de “La Cathédrale de Rouen” car le peintre utilise la couleur appliquée par touche et exprime plus les émotions et sentiments que la réalité précise.
Henri Matisse, “Nu Bleu II”, 1952. J'apprécie particulièrement les collages d’Henri Matisse, notamment “Nu Bleu II” pour sa représentation figurative du corps de la femme, qui prend encore plus de force de par cette couleur uniforme.
Henri Matisse, “Nu Bleu II”, 1952. J'apprécie particulièrement les collages d’Henri Matisse, notamment “Nu Bleu II” pour sa représentation figurative du corps de la femme, qui prend encore plus de force de par cette couleur uniforme.
Jean-Honoré Fragonard, “Le Verrou”, 1779. C’est ici la représentation de sujets qui étaient autrefois tabous que l’on devine par une série d'éléments symboliques et par l’utilisation de couleurs sémantiques.
Jean-Honoré Fragonard, “Le Verrou”, 1779. C’est ici la représentation de sujets qui étaient autrefois tabous que l’on devine par une série d'éléments symboliques et par l’utilisation de couleurs sémantiques.
Claude Monet, “Les Nymphéas”, 1914-26. “Les Nymphéas” m’ont toujours fasciné en particulier la façon dont les couleurs sont utilisées, ce qui crée une confusion entre le ciel, l’eau et les nénuphars.
Claude Monet, “Les Nymphéas”, 1914-26. “Les Nymphéas” m’ont toujours fasciné en particulier la façon dont les couleurs sont utilisées, ce qui crée une confusion entre le ciel, l’eau et les nénuphars.
Elisabeth Vigée Le Brun, “Marie-Antoinette en chemise”, 1783. Cette œuvre me plaît pour son extrême justesse de la représentation de la réalité notamment au niveau du vêtement où chaque petit pli est visible.
Elisabeth Vigée Le Brun, “Marie-Antoinette en chemise”, 1783. Cette œuvre me plaît pour son extrême justesse de la représentation de la réalité notamment au niveau du vêtement où chaque petit pli est visible.
Henri Lachièze-Rey, “Le manège”, années 60. C’est ici l’utilisation de couleurs encore marquées par le pinceau que je trouve très intéressante. La couleur joue un rôle très important et permet de traduire des émotions comme la mélancolie.
Henri Lachièze-Rey, “Le manège”, années 60. C’est ici l’utilisation de couleurs encore marquées par le pinceau que je trouve très intéressante. La couleur joue un rôle très important et permet de traduire des émotions comme la mélancolie.
Jean-Honoré Fragonard, “Les Hasards heureux de l’escarpolette”, 1769. C’est ici l’exemple d’une œuvre qui regorge de sens cachés accentués par une grande justesse dans la représentation des différents éléments.
Jean-Honoré Fragonard, “Les Hasards heureux de l’escarpolette”, 1769. C’est ici l’exemple d’une œuvre qui regorge de sens cachés accentués par une grande justesse dans la représentation des différents éléments.
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