Sculptures

La sculpture est un art que j'apprécie par sa faculté à donner naissance en trois dimensions à une forme et un volume à partir d’une matière travaillée. J’aime à la fois des œuvres reflétant parfaitement la réalité, d’un corps par exemple, et des œuvres où le travail de l’artiste est encore très visible.

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Honoré Daumier, sculpture en terre crue peinte de Laurent Cunin-Gridaine, 1832-35. Ce sont ici ces irrégularités que je trouve intéressantes, laissant encore deviner les gestes de l’artiste dans la terre, qui permettent de donner de l’expressivité et cette notion de vie à la réalisation.
Honoré Daumier, sculpture en terre crue peinte de Laurent Cunin-Gridaine, 1832-35. Ce sont ici ces irrégularités que je trouve intéressantes, laissant encore deviner les gestes de l’artiste dans la terre, qui permettent de donner de l’expressivité et cette notion de vie à la réalisation.
Niki de Saint-Phalle, “Les Nanas”, années 80. “Les Nanas” m'ont toujours beaucoup plu pour leurs rondeurs et leur douceur ornementées par des couleurs chaudes et des motifs chaleureux.
Niki de Saint-Phalle, “Les Nanas”, années 80. “Les Nanas” m'ont toujours beaucoup plu pour leurs rondeurs et leur douceur ornementées par des couleurs chaudes et des motifs chaleureux.
Kathleen Ryan, “Bad Fruit”, 2019. Je trouve ici très intéressant cette imitation d’un phénomène naturel (la moisissure) que l’on vient représenter par une structure ornementée de perles et pierres. L’artiste questionne ici la notion du “beau”.
Kathleen Ryan, “Bad Fruit”, 2019. Je trouve ici très intéressant cette imitation d’un phénomène naturel (la moisissure) que l’on vient représenter par une structure ornementée de perles et pierres. L’artiste questionne ici la notion du “beau”.
Louise Bourgeois, “Spider”, 1996. C’est ici le travail du bronze qui donne de la souplesse au matériau, donnant l’impression du mouvement, que je trouve fascinant.
Louise Bourgeois, “Spider”, 1996. C’est ici le travail du bronze qui donne de la souplesse au matériau, donnant l’impression du mouvement, que je trouve fascinant.
Vénus de Milo, 150-130 av JC. “La Vénus de Milo” témoigne d’une époque qui me plait beaucoup par cette représentation des canons de beauté aux corps parfaitement proportionnés et à la peau si lisse. Il est encore une fois possible de questionner cette notion de beauté.
Vénus de Milo, 150-130 av JC. “La Vénus de Milo” témoigne d’une époque qui me plait beaucoup par cette représentation des canons de beauté aux corps parfaitement proportionnés et à la peau si lisse. Il est encore une fois possible de questionner cette notion de beauté.
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